Soixante anciens élèves du Collège de Bazas morts pour la France

In memoriam Jean-Pierre Chalot (1951 – 2019)

In coelis animae fulgent,
Hic nomina tantum

Plaque Ancien collège de Bazas

« Ceux qui pieusement sont morts pour la Patrie
Ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie.
Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau ;
Toute gloire auprès d’eux passe et tombe éphémère ;
Et comme ferait une mère,
La voix d’un peuple entier les berce en leur tombeau !
Ainsi quand de tels morts sont couchés dans la tombe,
En vain l’oubli, nuit sombre où va tout ce qui tombe,
Passe sur leur sépulcre où nous nous inclinons ;
Chaque jour pour eux seuls se levant plus fidèle,
La Gloire, aube toujours nouvelle,
Fait luire leur mémoire et redore leur nom ! »

[Commentaire de la Revue Lachaud (11ème année, juillet 1922) : ]

« Avec Victor Hugo, nous pensons que les noms de ceux de l’A. A. B. [Association des Anciens de Bazas] qui sont morts pour la Patrie ne peuvent pas périr et que, non contents du tribut de nos prières, nous devons contribuer dans la mesure de nos moyens à l’éclat de leur gloire. C’est pourquoi, nous tenons à donner toute la solennité possible à l’inauguration de la Plaque commémorative dont vous avez décidé l’érection l’année dernière en l’honneur des Anciens Elèves du Collège de Bazas morts pour la France en 1914-1918.

Leur tombe n’est-elle pas un peu à Bazas, puisque là est née l’âme bazadaise, là nous ont été inculqués les grands principes qui ont fait de nos camarades des soldats héroïques, là enfin, beaucoup d’entre eux ont laissé sous les grands arbres de la Flotte le souvenir de leurs ébats de collégiens ? »

Allocution prononcée par M. l’abbé Pléneau, curé-doyen de Pauillac,
ancien professeur de rhétorique et préfet de discipline,
membre honoraire de l’A.A.B.
à la cérémonie d’inauguration de la plaque commémorative (9 juillet 1922).

« […] Ce que fut la vie de ces hommes, je ne l’apprendrai pas ici à ceux qui l’ont partagée avec eux, ni à ceux qui, depuis, ont visité leur glorieux champ d’action, l’horrible champ de bataille d’où l’on emporte la vision d’une lutte de géants et de paysages d’enfer : les Eparges, Douaumont et Vaux, la Harazée et Vauquois, Tahure et Perthes, Berry-au-Bac et Reims, Craonne et Leroux, la Somme, l’affreux désert de la vallée de l’Ancre, Notre-Dame-de-Lorette et Souchez, la chaussée de l’Yser, Ypres et Dixmude, le Piave, les Dardanelles et Doiran. Oui, nous savons tous ce que fut leur vie, un calvaire continuel, une crucifixion de tous les jours, de leur esprit, de leur volonté, de leur coeur, de leurs intérêts, comme de leur chair. »

« […] Là, plus de partis, plus de rangs, plus de confessions, comme l’on dit, plus d’opinions, plus de classes ; tout le monde confondu dans la seule pensée et la seule volonté de sauver l’honneur et de vaincre. Oh ! l’admirable spectacle ! L’officier et l’homme fraternisant dans une collaboration commune, dans le partage des mêmes privations et des mêmes dangers : l’esprit de révolte qui soufflait en temps de paix contre les chefs, soudainement éteint ; l’espèce de jalousie même qui pouvait se donner jour chez ceux du front à l’endroit de ceux qui, à l’arrière, forgeaient les armes de la victoire, ou assuraient les services auxiliaires, cette jalousie, dis-je, empêchée de naître ou silencieuse et comprimée, parce qu’on la sentait dangereuse, déraisonnable souvent, mauvaise en tout cas, capable d’énerver le moral, et donc de compromettre la victoire. Voilà le spectacle émouvant de cohésion, d’unité, de fusion patriotique et fraternelle que donnaient, sur toute l’étendue du champ de bataille, au front, et chez eux, — nos beaux
soldats… »

« […] II est impossible de tout citer et de tout lire : nous n’avons du reste pas tout ; mais si nous sommes réduits, de ce fait, à ne parler que de quelques-uns, nous n’avons cependant pas hésité à le faire, parce que nous savons très bien qu’ils représentent les sentiments ou reproduisent et résument en eux la grandeur d’âme et l’héroïsme de tous les autres. »

« […] Et ce m’est une consolation de terminer les glorieuses citations de cette élite de braves à l’ordre du collège, dont ils ont si bien mérité et qu’ils honorent tant, en évoquant la mémoire d’un autre de leurs camarades, nature fine et délicate, cœur d’or, d’une piété angélique, élevé au sacerdoce et devenu, pour ses qualités d’âme et d’intelligence, le secrétaire particulier et le confident intime d’un ancien curé-doyen de notre Bazadais, devenu évêque d’Oran. Brancardier au 174e territorial, venu, sur ses instances, dans un régiment, il y fit preuve du plus grand courage et du plus beau dévouement. Le 10 août 1916, à Hem, il demande à prendre, dans une vague d’assaut, la place d’un camarade chargé de famille, « donnant à tous le plus bel exemple d’esprit de sacrifice », dit sa citation. Au cours de cette attaque, et sous un violent tir de barrage, il aperçoit un homme grièvement blessé, se porte vers lui, se découvre pour lui donner  l’absolution, et meurt d’un éclat d’obus reçu en plein front, après avoir reçu, sans connaissance, les derniers sacrements… »

Joseph Fabre de La Bénodière

« […] leur âme est au ciel, et […] ces noms, du moins, vivront dans nos mémoires, comme dans nos coeurs. Ils sont morts, mais ils ont écrit, avant de mourir, la page la plus glorieuse certainement, la plus magnifique, la plus prodigieuse aussi, des fastes de notre histoire et de tous les temps. Et parce que la guerre, comme, dans leur féroce orgueil, se plaisaient à le dire les Germains, a été mondiale, votre gloire, ô grands soldats de la victoire, votre gloire le sera aussi. « Je meurs pour la libération du monde », disait, à ses derniers moments, l’un de vous, le médecin aide-major de 1ère classe, Paul Capdeville [né en 1888, mais décédé le lendemain de l’Armistice]. Et, s’il le disait, c’est qu’il sentait bien que la libération du  monde était liée à celle de la France et que l’on sauvait, en mourant, l’une et l’autre »

« Si, dans l’immense champ de bataille, je n’ai pas voulu séparer nos Grands Anciens de leurs  compagnons d’armes, ni les rapetisser en les isolant, si je les ai jetés dans le grand tout, où ils occupent un rang si glorieux, et où leur physionomie se détache en si beau relief, ma pensée n’est pas non plus d’oublier que s’ils sont d’abord de leur famille, où ils ont puisé le suc nourricier qui a fait d’eux ce qu’ils furent, parce que bon sang ne sait mentir, et du collège, où, continuant toutes les traditions du passé, des Lachaud, des Chadois, des de Pichard, des de Verthamon, et des autres, on peut les regarder comme le plus complet épanouissement et la plus belle efflorescence de toute l’oeuvre d’éducation menée ici pendant près d’un siècle, par des prêtres tels que les Martial, les Tourreau, les Faugeras, les Langarica, les Verdalle et le vénéré chanoine et supérieur qui est là [l’abbé Jacques Esterlin] : je ne peux pas oublier, dis-je, qu’ils sont aussi de Bazas, et que quelque chose de la vigoureuse sève de ce terroir, si riche en valeurs et en vertus, a passé en eux, comme en ces arbres des forêts voisines, droits et fermes, qui se brisent, mais ne plient pas, et qui meurent debout. Nous ne saurions les séparer, s’ils ne sont pas
nés sur ce sol, de ceux qui en sont le fruit, et qui ont donné comme eux, et pour la même cause, dans la même confraternité d’âmes et le même noble esprit de sacrifice, leur sang et leur vie. L’hommage donc que nous rendons à nos « Anciens » va aussi à ceux-là, commue aux membres d’une même famille, de la grande famille bazadaise. »

Plaque Anciens Collège Bazas

Les 60 noms :
(01) Léon Joseph ANDRÉ (10.10.1881 Bordeaux-20.12.1914 Mesnil-les-Hurlus)
(02) Raymond, André, « Charles » ARDUSSET (24.12.1870 Grignols-19.6.1915 ND de Lorette)
(03) Gaston AYRAUD (3.12.1875 Béziers-13.11.1914 El Herry au Maroc)
(04) Pierre « Félix » BALARESQUE (19.5.1860 Bordeaux -21.09.1919 Bordeaux)
(05) Jean BARADAT (20.3.1896 Pomarez-18.4.1917 Craonne)
(06) Robert BARDINET (25.1.1895 Limoges-5.9.1918 Ste Eulalie)
(07) Charles BASTARD (22.8.1880 Bassens-6.8.1916 Verdun)
(08) Marc BERGEY (2.3.1898 Ambarès-2.9.1918 Rouy)
(09) Roger BOUDREAU (22.4.1887 Bordeaux -2.5.1918 Montigny en Chaussée)
(10) André BOURGOINT (13.5.1892 Pian-8.9.1914 Marchais)
(11) Paul CAPDEVILLE (20.08.1888 Buzet-12.11.1918 à l’hôpital de Mailly dans l’Aube)
(12) Guillaume CLISSEY (10.8.1883 Bieujac-30.10.1914 St Christophe Serry)
(13) Joseph CLUZAN (29.5.1887 Villandraut-28.2.1915 La Chapelotte)
(14) Gérard COCUT (22.2.1886 Cleyrac-6.10.1915 Camp d’Elberfeld Champagne)
(15) Jean CURUTCHET (25.6.1893 Lesparre- 10.7.1916 Pessac (des suites de maladies))
(16) Paul DAUBAIN (16.11.1896 St Macaire-21.6.1915 à la redoute Bouchet de Gallipoli dans l’actuelle Turquie)
(17) Joseph Marie François Xavier DECAN DE CHATOUVILLE (24.3.1880 St Loubès-16.4.1917 Beaulne)
(18) Marie Roger DE LA GRANDIÈRE (4.8.1895 Bordeaux -17.6.1916 Verdun)
(19) René DÉCAMPS (9.3.1897 Bordeaux -8.1.1918 Camp Dillemann dans la Marne)
(20) Alfred DECHE (13.11.1884 Calonges-23.12.1914 Mesnil-les-Hurlus)
(21) Roger DELORT (26.9.1898 Paris VIII-25.10.1918 Cote 112 Nord-Est de La Selve dans l’Aisne)
(22) Paul DEMPTOS (28.11.1894 Camblanes-11.1.1916 Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus)
(23) André DROUHAUT (17.8.1891 Santiago du Chili-26.1.1920 Villacoublay)
(24) Thomas René DUBÉDAT (11.5.1885 Sauternes-9.4.1915 Lamorville)
(25) Paul DUCLA (8.7.1894 Morizès-29.11.1918 au lazaret de Nauen en Allemagne)
(26) Jean DUFFIEUX (22.6.1895 Villandraut-13.9.1917 Aubérive- Cuperly dans la Marne)
(27) Maurice DUMAS (2.3.1889 Coutras-15 (ou 25 ?).9.1914 Craonne ?)
(28) Pierre DUPEYRAT (7.9.1888 Bayon-6.5.1915 Seddul Bahr dans l’actuelle Turquie)
(29) Édouard DUPUTS (2.6.1896 Talence-22.11.1916 St Pierre Vaast- Somme)
(30) Albert DUPUY (7.1.1878 Dax-27.5.1916 à l’hôpital militaire Buffon de Paris)
(31) Marc DUPUY (26.8.1889 Sore-18.4.1918 Castel Mailly Renneval dans la Somme)
(32) Roger DUPUY (17.8.1892 Sore-25.4.1917 Craonnelle Vauclerc au Chemin des Dames)
(33) Abbé Joseph FABRE de la BENODIERE (28.4.1884 Bordeaux -10.8.1916 Curlu)
(34) François GARROS (12.12.1886 Barsac-30.9.1918 à l’hôpital anglais n°37 de Versekop ? en Macédoine)
(35) Henri GOURRIN (13.6.1889 Villeton-26.8.1916 Doiran en Serbie)
(36) Félix JAQUEMET (10.9.1881 La Réole-11.7.1915 Roclincourt)
(37) Georges LACOSTE (21.10.1883 Virazeil – 27.4.1915 Oulches au chemin des Dames)
(38) Jean LAFFORGUE (3.9.1883 Préchac-25.9.1915 St Hilaire Le Grand)
(39) Jean Joseph « Pierre » LARRUE (12.11.1883 Villandraut-20.7.1916 Estrées)
(40) Abel LESTRADE (24.1.1895 Bordeaux -24.2.1915 hôpital de Périgueux)
(41) Eugène LIMAU (9.4.1886 Gontaut-2.5.1915 aux Dardanelles, à Seddul Bahr dans l’actuelle Turquie)
(42) Pierre LOUMEAU (20.11.1894 Bordeaux -14.10.1916 s.l. 2ème corps d’armée colonial)
(43) Claude MARTIN (25.10.1873 Bordeaux -11.5.1916 Bois de la Caillette dans la Meuse)
(44) François MAUREL (21.3.1884 Bordeaux -12.8.1918 Bordeaux)
(45) Jean MÉDEVILLE (28.9.1897 Bordeaux -15.11.1916 Neuville aux Bois)
(46) Lucien MÉDEVILLE (13-06-1896 Bordeaux -23.8.1918 Fayelle)
(47) Joseph OYHÉNART (24.3.1892 St Paul les Dax-4.5.1916 Ambulance 10/6 SP 32, Bois Bourra, Blercourt)
(48) Charles POSSE (19.9.1896 Lormont-9.3.1918 Vionville-en-Woëvre)
(49) Jean QUANTIN (11.5.1883 Bordeaux -29.12.1914 Bray sur Somme)
(50) Gérard RÉAU (25.10.1894 Bazas-6.11.1918 Recouvrance dans les Ardennes)
(51) Gaston ROLAND (4.6.1887 Lesparre-20.8.1914 Fax Fontenay)
(52) André ROUMIEU (23.1.1896 Bazas-23.12.1917 Casella d’Asola en Italie)
(53) Louis SAUBOUA (21.8.1883 Puybarban-17.2.1915 Perthes-les-Hurlus)
(54) Maurice SÉGUINARD (20.7.1891 Meilhan-10.9.1916 à la cote du Poivre à Bras dans la Meuse)
(55) André SOUAN (19.10.1893 Monségur-25.9.1915 Agny)
(56) Jean TARDIEU (24.1.1884 Tournon-20.4.1918 ambulance anglaise n°36 en Belgique)
(57) Léon TERMES (31.12.1889 Casteljaloux-23.5.1917 Eparges dans la Meuse)
(58) Pierre TOUTON (05.07.1893 Bordeaux -20.10.1918 Côte 120 ? dans l’Aisne)
(59) Pierre TRIAUD (10.1.1868 Faulquemont-16.9.1914 La Ville-aux-Bois)
(60) Georges VIALLA (07.11.1896 Bordeaux -7.5.1917 Vauclerc)

 

La plaque fut réinstallée le 29 mai 1960 au Collège St Jean-Baptiste, rue de la taillade, après la vente du domaine de La Flotte (1958).

« A l’occasion de la fête des anciens, le dimanche 29 mai [1960], la plaque des morts de la guerre de 1914-1918 avait été transportée de « La Flotte » au Collège. Avec celle des défunts de la plus récente guerre, elle encadre la porte de la chapelle, bien mise en évidence par le mur du grand escalier, qui lui sert de cadre naturel. Le va-et-vient des élèves ne peut que s’édifier de la fidélité de leurs anciens à tous les grands devoirs. Une fois ou l’autre, leurs yeux, tombés sur les noms gravés en lettres d’or, leur rappelleront des vertus qu’ils doivent avoir à coeur de faire refleurir dans leur vie » (Les cahiers de Saint-Jean, 40ème année, n°139, juillet 1960, p. 13)

Ange Plaque Anciens Collège Bazas

L’ange protecteur de l’ancien Collège, avec son blason aux armes de Bazas et des évêques qui
l’ont soutenu (on devine la devise : « Virtuti et scientiae » – pour la vertu et pour la science)

« Définitivement, en juillet 1967, le collège ferme ses portes, et les murs sont achetés par la Mairie de Bazas qui en fera une résidence pour personnes âgées.
Le Docteur Henri MARTIN, Maire de Bazas à l’époque, récupère les plaques se trouvant dans la salle d’honneur. Elles seront entreposées dans la cathédrale. Sur ces deux plaques figurent les noms d’un professeur et d’anciens élèves Morts pour la France au cours des guerres de 1914-1918 et 1939-1945. La première plaque est de grandes dimensions et comporte soixante noms. Sur la deuxième plaque, beaucoup plus petite, figurent le nom du Père PEDELABORDE, Préfet de discipline de 1938 et 1939, et les noms de douze camarades Morts pour la France durant la guerre 1939-1945.
Les Anciens élèves, qui chaque année, depuis 1990, se réunissent en des agapes fraternelles décident, en juin 2006 à Verdelais, de mettre en valeur lesdites plaques par respect et reconnaissance envers leurs condisciples. Jean-Louis ESCOUBET et Claude ROUMAZEILLES se portent volontaires pour diriger le nettoyage et la mise en valeur desdites plaques. Après autorisations du Maire de Bazas et du Père ARNAUD, Curé de la cathédrale, il est décidé que les plaques seront placées dans la cathédrale près de l’autel de Saint Michel GARICOITZ, fondateur de l’ordre des Pères de Bétharram. Cet autel se trouve après la sacristie dans l’abside de droite. Les travaux de restauration sont confiés aux Ets Laporte, marbriers à
Caudrot. II est décidé d’ajouter une plaque pour nos camarades morts pour la France au cours des guerres d’Indochine et d’Algérie. De plus, afin de laisser une trace de l’existence du collège, il est décidé de faire graver une troisième plaque rappelant les noms des directeurs de 1932 à 1967.
Le dimanche 20 mai 2007, après la messe dominicale ; les trois plaques sont dévoilées par les soeurs de trois camarades, deux décédés au cours de la guerre de 39-45, et un décédé en Indochine. La Batterie Fanfare des Chevaliers de Notre Dame de Verdelais, par les sonneries réglementaires a apporté une note militaire, et le Père ARNAUD a béni les plaques. Ce fut très simple, sobre et digne. Tous les Anciens élèves présents ont été saisis d’émotion. Les Amicales ou Sociétés d’Anciens Combattants de Gironde sud avec drapeaux étaient présentes (dont la Légion d’Honneur, les Médaillés Militaires, l’Association des Combattants de l’Union Française, la Fédération Nationale des Anciens Combattants d’Algérie, Tunisie et Maroc, les Retraités de la Gendarmerie, l’Union Nationale des Combattants et l’Association des Anciens
Combattants et Prisonniers de guerre de 39-45).
D’anciens professeurs comme le Révérend Père André GILLET, les Abbés LOISILLON, BERTHON, FABRE étaient présents. Le Chanoine Henri PLAGES prononça l’homélie. »
(Claude Roumazeilles, « Reconnaissance des Anciens élèves du Collège St Jean-Baptiste de Bazas pour leurs condisciples « morts pour la France » lors des guerres 1914-1918, 1939-1945 – Indochine et Algérie »)

Plaque Anciens Collège Bazas 3

Honneur à tous ces « fils de Bazas » morts pour la France.

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